Je termine des petites vacances. Du temps vacant quoi... du temps libre. Du temps rien qu'à moi. C'est un luxe, je crois. Un luxe dont parfois je m'accomode bien (en voyageant, surtout) et qui, d'autres fois comme cette dernière semaine, me fait sentir coupable de ne rien faire. Pourtant, n'est-ce pas là le but?
Peut-être que j'ai assez profité de ces espaces à moi, que j'en ai assez abusé, que j'ai assez erré comme un écolier en été sans responsabilités.
Peut-être aussi que dans cet ère de performance, d'hyper-occupation, d'agendas overbooked, de montres précises qui ne voient plus passez le temps... peut-être que j'ai un peu perdu la notion de l'arrêt. Stop, et quoi encore?
Peut-être aussi suis-je tout simplement trop gâté, et que mon existentialisme à outrance finit simplement par prendre le dessus car il a, justement, trop de temps.
dimanche 3 février 2008
Temps l i b r e .
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