C'est l'été y'a pas d'doute: aucun doute, niet, néant (dertal...!). Mon cerveau a dégelé, il voit plus clair, beaucoup plus clair (parfois trop...), et le soleil dans mon coeur se couche plus tard. Je suis plusse moi.
L'ours-que-j'étais-devenu-encore-une-fois-bien-malgré-moi a finit (enfin) d'hiberner. Et en plus, les factures de gaz sont payées!
C'est déjà le 17 juillet et je suis déjà allé en picnic, aux piknics, à la pétanque, au boulot à vélo, à la piscine, au BBQ avec des zamis (je suis à ma deuxième bonbonne, bon!), à pied... nulle part et ailleurs, et là-bas aussi, et sur le patio des zamis.
Je suis allé à la plage aussi. Ouf! Jamais vu autant d'objets... des objets transportés au bord de l'eau (parce qu'il y a aussi de l'eau, à la plage)... question de survivre l'instant d'UNE SEULE JOURNÉE. C'est important, survivre; alors aussi bien trimballer ballons, glacières, chips, liqueurs, bières, freesbees, filets, maillots douteux, drogues, seins refaits, attitudes, et tout ce qui est made in China, oh beautiful China... et qui re-fait de nos vies des vies ensevelies. Genre.
C'est déjà le 17 juillet et je suis déjà allé à Paris (ça, c'est le boutte baveux mais conscient de mon intervention, ha!).
Et quoi encore?
C'est déjà le 17 juillet et je veux des pleines lunes, des folies, des ivresses momentanées, des caresses, des oublis, des coups de génie, des coups de folie, des... mais qu'est-ce que j'ai dit?
Mais... qu'est-ce que j'ai dit?
jeudi 17 juillet 2008
Vari-été (ça donne le ton un jeu de mots poche de même non?)
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